mardi 6 janvier 2009

« Turbulences pour le retour » ou « Comment le sort s’acharne sur moi »



En attendant des news des gars ...





Par Alex
Lors d’une conversation avec Florian, il y a quelques jours, j’espérais ne pas écrire de nouvel article sur son blog pour mon retour en France …. Cela aurait signifié un vol sans encombre, un retour tranquille à Rennes, vers 17h, une remise au point dans les cours et un gros repos avant la rentrée. Cependant, les choses ne se sont pas du tout déroulées ainsi … snif…

Après un dernier pot dans un pub irlandais à Hong Kong (ben oui, quoi ?), tous les trois sommes arrivés à l’aéroport pour enregistrer les bagages pour mon vol de 0h50. Première inquiétude, Flo repère « 4h » écrit sur les panneaux … quoi, quoi, quoi ??? Et oui ! Le vol était retardé et le départ prévu à 4h du matin (ce n’est pas comme si nous n’avions pas trop dormi la nuit précédente en plus !)… enregistrement de mon gros sac tout de même et également de la petite valise que je voulais garder en bagage à main, trop lourde pour me suivre …
Très sympas, les gars sont restés à attendre avec moi jusqu’à minuit et demi, heure du dernier métro permettant de rentrer à leur Guesthouse, et je me suis à nouveau retrouvée avec, pour seule compagnie, ma patience … Malgré quelques turbulences, le vol, d’une durée de 11h, a passé « relativement » vite (on est quand même super pressé d’être chez soi quand on sait que les vacances sont terminées !).
Atterrissage à Moscou (aéroport que je commence à connaître maintenant avec, à nouveau, les gros manteaux et surtout la gentillesse, l’écoute, la patience et l’accueil chaleureux du personnel ! ggggrrrr….) et encore 3h30 d’attente pour le second vol qui nous ramènerait vers la France. Entre temps petit coup de fil à mes parents pour annuler, via le Net, mon billet TGV réservé au départ de Roissy puisque nous ne savions pas du tout l’heure d’arrivée précise … Car, il faut penser à tout cela quand un avion a du retard, en soit ce n’est pas « trop trop grave » (on n’est plus à 5h près !), mais cela engendre bien des complications pour toutes les correspondances, qu’il s’agisse d’un second avion ou d’un train !

Allez, courage, plus que 4h et nous atterrissons à la capitale !

Ouf … nous y sommes ! Je n’ai jamais été aussi près de chez moi … la galère va être de trouver un TGV dispo maintenant, un dimanche soir avant la rentrée, ce n’est pas gagné … on va voir …
Attente devant le tapis roulant livrant les bagages … non, pas le mien … celui-là non plus …. Bon … Ah, retard dans la livraison ça doit être ça (j’avais déjà un mauvais pressentiment) ! Non plus … bon, c’est bizarre, il n’y a plus personne à attendre, ça fait déjà une heure et demie que j’attends, en plus tous les gens sont partis et toujours rien … tiens, le tapis s’arrête … Livraison des bagages provenance Moscou terminée ???? AAAAaahhhhh !!!!!!!!
Voilà : dossier rempli avec une madame pour « perte de bagages » ! Apparemment je ne suis pas la seule car 3 autres personnes sont là aussi, remplissant le même dossier, et deux autres « grognent » (le mot est faible) contre la compagnie qui est plus qu’incapable !!!!!! Les valises sont égarées entre Moscou et Paris (toutes ces personnes sont parties de Hong Kong également) … Bon, là j’avoue j’ai pleuré … ça fait beaucoup quand même ! Plus rien ! Plus de fringues, plus de trousse de toilette, plus de cadeaux pour ma famille, plus de souvenirs, plus de cadeaux de la part des gars, plus de disques durs externes de Flo, plus de cadeaux pour la famille de Max, plus de lisseur à cheveux (Mon Dieu ! Que vais-je devenir ? ) … En plus je ne trouvais pas la sortie de l’aéroport pour rejoindre le métro (c’est immense Roissy Charles de Gaulle !)… J’en ai marre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
66 euros plus loin je prends le RER (où un gentil jeune homme m’a proposé un mouchoir en papier neuf : seule petite éclaircie dans cette journée (ou nuit je ne sais plus trop) pourrie !) en direction de Montparnasse pour un TGV à 20h05 (encore 2h d’attente et cette fois dans le froid glacial !). Pour me réchauffer je suis entrée dans un café, commandant un chocolat chaud : le mec prépare la tasse et fait chauffer le lait : « Ah mince, désolé, j’avais oublié que je n’ai plus de chocolat ! ». Vous voyez ! Même là-dessus ma copine La Poisse continue de me harceler !
Bref, au final je suis arrivée à Rennes à 22h30 … (levée 6h ce matin pour prendre la route verglacée vers Fougères … mais bon, ça c’est une autre histoire !).

Conclusion de tout ceci : si je n’ai pas de nouvelles d’Aéroflot, concernant mes bagages, d’ici 5 jours il faut que je commence à m’inquiéter (sachant qu’il y a un site sur lequel je suis supposée suivre mon dossier et l’avancée des choses mais mon compte est bloqué pendant 30 minutes … et ce, depuis hier soir ! Allez comprendre !)…
Et, surtout : ne voyagez JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS, auprès de la compagnie Aéroflot Russians Airlines !!!!!!!!!!!!!















lundi 29 décembre 2008

Le tour du monde en 80 jours…

27 900 km parcourus, contrairement à Phileas Fogg, notre tour du monde atteint son 83ème jour de voyage et il est loin d’être bouclé !

Après avoir réceptionné tant bien que mal Alex suite à ses déboires (cf. billet précédent…), nous avons passé une agréable journée de Noël ensoleillée dans une ville qui ne l’est pas vraiment… agréable… Shenzhen, ancien petit village de pêcheurs frontalier avec Hong Kong, qui, après les décisions gouvernementales d’ouvrir certaines zones du pays aux investisseurs étrangers dans les années 80, se transforma en mégalopole polluée, sans charme ni identité… Aucun intérêt si ce n’est la proximité avec Hong Kong… Fuyant donc la cité surpeuplée, nous décidons de prendre un bus de nuit en direction de Yangshuo, petit havre de paix perdu dans les pains de sucre, à quelques centaines de kilomètres d’ici…

Nous n’avions pas encore fait les bus de nuit en Chine. Bien que plus confortables que leurs homologues indiens (la couchette, la classe !), on y dort pas vraiment plus… Chinois ronfleurs, couchettes étroites, bruits et phares nous ont accompagné pendant tout le trajet d’une dizaine d’heures environ… Arrivés à l’aube à Yangshuo sans notre quota de sommeil, la journée allait être rude !

Yangshuo. Laissez-moi planter le décor… Ici, c’est censé être le coin vraiment typique de la Chine, dont les paysages apparaissent sur toutes les célèbres estampes du pays (et même sur les billets de 20 yuans). Pains de sucre de ci de là surgissant des nappes de brume, aux pieds desquelles la rivière Li, sinueuse, offre ses poissons aux pécheurs perchés sur leurs bateaux en bambou. Un cadre idyllique! Mais c’était sans compter sur la météo capricieuse, qui avait décidé de nous rappeler nos origines bretonnes (…) en nous inondant de ce délicieux crachin qui nous manquait tant ! 3 jours donc de pluie, de froid, de grisaille dont on se serait bien passé… Malgré tout, balade dans la ville ou en bateau su la rivière, emplettes sur les marchés et bons restaurants ont permis à Alex de souffler un bon coup et s’adapter tranquillement la vie chinoise.

Aujourd’hui, nous sommes de retour à Guangzhou pour une journée repos pour ma part (le retour en bus ca !), Alex et Max étant partis sillonner la ville. Demain direction Hong Kong, dans l’optique d’un réveillon festif et haut en couleur!

jeudi 25 décembre 2008

Perdue à Novosibirsk

Par Alex

Le même jour...

Avant toute chose, je tiens à préciser que le récit que je m’apprête à vous narrer n’est ni tiré de mon imagination ni tiré d’un film américain …


Le mardi 23 Décembre était mon jour de départ de Rennes : le train de 6H10 m’emmenait tout droit à l’aéroport de Paris-Roissy Charles de Gaulle afin de prendre l’avion destination Moscou pour commencer. Etant une « habituée » des voyages en avion, même pas peur, sac sur le dos (merci Ju et Chris !), passeport et billets en main, j’étais partie !

L’accueil aux douanes russes n’était pas des plus agréables je dois bien l’avouer … en même temps, à 17H il faisait déjà nuit noire, une température inférieure à 0° (il neigeait d’ailleurs), et l’aéroport était identique à l’image que nous avons de la vie russe : froid, sombre, vétuste, perdu au milieu de nulle part et remplis d’hommes et de femmes couverts de gros manteaux à moumoute !


Deuxième avion : en route (ou plutôt en vol !), avec une heure de retard, pour Hong Kong ! Courage, plus que 10H !

Après un petit somme rapide, je vois sur l’écran que, après avoir survolés Novosibirsk (vous savez, le genre de ville dont nous avons tous lu un jour ou l’autre le nom dans un livre d’histoire et qui nous semble dans un autre monde, froid et hostile….), nous faisons demi tour et nous posons à l’aéroport. Un des stewards marmonne quelque chose en russe (bien sûr j’ai fait russe en seconde langue !) et en « anglusse » (mélange entre l’anglais et le russe, ma troisième langue !)… voyant tout le monde descendre, je suis le mouvement, comprenant finalement qu’il y a un problème technique à l’appareil … génial ! Une heure plus tard (sans préciser que l’aéroport était encore plus glauque que le précédent !) tout le monde remonte. Bon, on va peut être pouvoir y aller … Et non ! Tous les passagers ont récupéré leurs affaires et ma voisine de devant, Mariane, une norvégienne, m’explique que l’avion ne peut repartir et que nous devons attendre dans l’aéroport pendant une durée indéterminée … peut être qu’un autre avion pourra venir nous chercher de Moscou dans 4/5 heures, ou bien peut être seulement demain matin si tout va bien…. Alors, là, trop génial ! Donc, au final nous avons été enfermés (à double tour, si si, pour nous empêcher de sortir !) dans une salle de l’aéroport, sans argent russe, sans pouvoir acheter à boire ou à manger, dans le froid glacial, de 4H30 le matin à …. 18H le soir !!! Certains dormaient, un autre injuriait la compagnie à voix haute, un autre buvait ses bouteilles de vin blanc au goulot, certains commençaient à s’énerver contre le personnel qui ne parlait pas un mot d’anglais et qui avait l’air de se moquer royalement de notre condition ! Après quelques coups de pieds portés dans des portes et une mini émeute guidée par un chinois qui se prenait pour Mao, un pilote est venu chercher les passagers qui avaient un visa russe et donc pouvaient repartir vers une autre ville pour reprendre un avion. Les autres, vous attendez 14H, un avion arrive. A 14H il fallait encore attendre une heure. A 15H il fallait encore attendre une heure. A 16H … vous avez compris … finalement nous avons pu décoller à 18H30. J’en avais plus que marre ! J’appelais Flo et Max régulièrement pour leur donner des nouvelles car ils m’attendaient et, aussi, pour leur parler et me rassurer !

Enfin, 14 heures plus tard, nous quittions ce super pays chaleureux et accueillant ( !).

Par contre, ce que j’ignorais, c’est que cette mésaventure n’était que le début des complications et de mes ennuis ….


Atterrissage à Hong Kong à 2H30 du matin, la nuit de Noël … je me sentais bien seule ….


Alors bien sûr, à cette heure, pas de métro, pas de bus, pas de train et je devais rejoindre les gars à Shenzhen (à 45 minutes de transports en commun) qui, pour une histoire de visa, ne pouvaient entrer dans Hong Kong. Un chauffeur de taxi m’aborde dans l’aéroport et me propose de m’emmener à Shenzhen pour la modique somme de 1500 dollars hongkongais (soit environ 150 euros). « Laissez moi réfléchir …. Heu……….non ! ». Un deuxième, tout excité, me propose le transport avec 5 autres chinois pour 150HKD. Nous voici donc tous les six entassés dans un taxi chinois qui roule à gauche, avec les valises qui dépassent du coffre et attachées avec des ficelles. Je priais Bouddha qu’il nous dépose bien à Shenzhen et, pourquoi pas, directement devant l’hôtel.


Chose à laquelle je n’avais pas pensé: toutes les personnes sortant de Hong Kong doivent faire valider leur passeport et Visa, donc nous voici tous les 5 déposés devant la douane… Bon, Ok, maintenant ? Et bien comme la première fois, la paperasse effectuée, je suis le mouvement et monte dans un bus. Là, je commence un peu à paniquer car je ne sais absolument pas où nous emmène celui-ci et imagine même qu’il m’éloigne du quartier de l’hôtel où sont « royalement » logés les gars. Je demande directement au chauffeur de me confirmer la destination, accompagnée du Lonely Planet, mais la communication est difficile ! Arrivés à ce que je croyais être la gare ferroviaire, il descend et explique à un policier ma situation. Bref, tant bien que mal nous réussissons à nous comprendre (un peu) et il m’écrit l’adresse de l’hôtel en chinois pour que je puisse m’y rendre en taxi.


J’appelle directement Florian (je rappelle qu’à ce moment il était déjà 5 heures) qui me dit de ne pas bouger : ils viennent me chercher à cette gare ferroviaire en taxi.

5 minutes, 10 minutes, 15 minutes, 20 minutes …. (je ne vous explique pas comme le temps m’a semblé très long depuis le train de la veille à Rennes !). Coup de fil : nous ne nous trouvons pas et les indications concernant la gare ne sont pas identiques ! Nous ne sommes pas au même endroit ! On ne va jamais y arriver !


Allez hop, les gars dans leur taxi, moi dans un autre, on décide de se rejoindre à l’hôtel directement. Le chauffeur fait une moue lorsqu’il lit l’adresse en chinois : il ne semble pas connaître la rue indiquée.

Après 20 minutes de route j’aperçois enfin l’hôtel, Flo et Max devant ! Gros gros ouf de soulagement après toutes ces péripéties ! Je n’ai jamais été aussi heureuse de les voir !

Après un peu de repos (une bonne douche et 3 heures de sommeil dans un vrai lit) nous partons à la découverte d’un « petit bout » du pays ensemble.

Un joyeux bordel pour Noël…

Jour 79 – Distance parcourue : 27 100 km

JOYEUX NOEL ! Après quelques jours de voyage plutôt calme, ce Noël restera gravé dans nos mémoires comme un Noël très « exotique », aux températures estivales et à la saveur asiatique... Alexandra de son coté, nous a enfin rejoint pour les fêtes, non sans quelques mésaventures. Reprenons les choses dans l’ordre…

Jour 75, nous quittons Shanghai avec un léger pincement au cœur pour Hangzhou, une petite station climatique à 2 heures en train de la grosse mégalopole. Shanghai, grouillante, éclatante de mille feux (néons ?), démesurée, barrée, m’aura laissé un excellent souvenir avec ses buildings, ses dizaines de galeries d’art, ses jolies femmes (… !). Arrivés à Hangzhou avec l’intention d’y passer plusieurs jours, nous décidons de réserver rapidement notre train pour Shenzhen, ville où nous devons retrouver Alexandra pour le réveillon… Mais là, surprise, entre gestes et gribouillis (oui rappelez vous, les Chinois ont oublié qu’il y a d’autres langues que le chinois dans le monde…), nous comprenons que tous les trains sont complets jusqu’au 26… Un peu énervés quand même (nous voulions réserver plus tôt, mais on nous avait sommé de le faire seulement dans la ville de départ…), nous trouvons une alternative à ce problème en sacrifiant ce séjour à Hangzhou et en prenant très rapidement un train pour Guangzhou, grosse ville chinoise à une heure de Shenzhen. Bye bye donc Hangzhou, ses temples, son lac, ses balades en bateau … et ses – 5°C !!! En effet, pendant quelques jours, la moitié nord de la Chine a connu une énorme vague de froid, faisant chuter les températures d’une dizaine de degrés… Aïe !

Quelques 19 heures de voyage plus tard, nous voici à Guangzhou, plus connu chez nous sous le nom de Canton, l’un des berceaux de la gastronomie chinoise. 10°C au compteur (Ca va mieux, merci!), la ville n’est pas vraiment une découverte pour moi, y ayant déjà séjourné quelques jours l’année dernière (Pensée pour Olivia !). Néanmoins, c’est assez agréable de guider Max à travers l’adorable Shamian Island et ses bâtiments coloniaux, ou l’interminable marché pharmaceutique entre carapaces de tortue, champignons géants, peaux de serpent, hippocampes séchés et même squelettes de singe momifiés !! Beurk ! Un vrai marché pour sorcières…

De son coté, les galères d'Alex commencaient...

vendredi 19 décembre 2008

Le futur, c’est aujourd’hui …


… à Shanghai !!! 74ème jour de voyage, 24 200 km parcourus et nous voici dans cette ville tout bonnement HALLUCINANTE, je dirais même irréelle ! Voici la ville futuriste telle que les auteurs de science fiction pourraient l’imaginer, les voitures volantes en moins. Ici, toutes les constructions les plus dingues sont réalisées, les architectes rivalisent d’idées neuves et d’ingéniosité
pour faire fleurir des buildings aux formes magnifiques et improbables. Dernier projet en date, une tour de près de 1300 mètres de haut (actuellement, la plus haute tour du monde doit faire aux alentours de 500 ou 600 mètres…) abritant 100.000 personnes. Une véritable cité aérienne, dont la réalisation est prévue pour 2020. HAL-LU-CI-NANT ! (Plus d’infos sur la « bionic tower » ici). Nos derniers jours à Beijing ont été calmes, entre dégustation de brochettes de scorpions frits et ballade le long du Time Square local. Ici, à Shanghai, la donne est différente, la Chine peuplée et polluée a repris ses droits. Beaucoup de monde au kilomètre carré (c’est la ville la plus peuplée de Chine), les rues sont embouteillées la journée et les transports en commun bondés. Le soir, les milliers de magasins allument leurs néons multicolores surchargés, notamment le long de la « Nanjing Road », l’artère commerçante principale de la ville recensant toutes les célèbres enseignes internationales.

Shanghai, c’est aussi le centre de la culture chinoise, c’est ici que toutes les tendances se font et se défont. Look branché, coupe de cheveux « mangaquesque » (on aime ou on n’aime pas…), gadgets électroniques dernier cri, juste prendre le métro est en fait un défilé de mode (Shanghai est surnommé le « Paris de l’est »… Pour être exact, Paris peut peut-être prétendre à être le « Shanghai de l’ouest »…). La cité compte aussi de nombreuses galeries d’art ainsi que certains des plus beaux musées du pays, notamment le National Museum, retraçant l’histoire de Chine à travers sculptures, peintures, calligraphies, mais aussi le musée culturelle du sexe Chinois, un musée pour le moins… très étonnant…

Coté histoire, la ville est en fait très très « neuve » ! Il y a une centaine d’année, Shanghai n’était qu’un petit village de pêcheurs, mais sa position géographique a fait de la cité le carrefour du commerce de l’opium dans les années 30, attirant les nombreux investisseurs et marchands du monde ! Aujourd’hui, elle est la cité visionnaire de la Chine telle que nous la connaissons, comptant parmi les premières places financières de l’Asie !

(PS : Deux infos d'une importance capitale! Nous avons enfin un numéro de téléphone chinois, que voici : 00 86 15000 76 90 24. N’hésitez pas ! Et segundo, j'ai enfin retrouvé des cheveux! ;-) )